Iguana Death Cult balance Pushermen
Le groupe de Rotterdam Iguana Death Cult annonçait le 15 février dernier son nouvel album studio Echo Palace, prévu le 12 mai via le label américain Innovative Leisure (Nick Waterhouse, […]
L'info Autrement
Le groupe de Rotterdam Iguana Death Cult annonçait le 15 février dernier son nouvel album studio Echo Palace, prévu le 12 mai via le label américain Innovative Leisure (Nick Waterhouse, […]
Le groupe de Rotterdam Iguana Death Cult annonçait le 15 février dernier son nouvel album studio Echo Palace, prévu le 12 mai via le label américain Innovative Leisure (Nick Waterhouse, Allah-Las…). Cette annonce s’accompagnait d’un nouveau single, Sensory Overload.
L’aventure continue ce 15 mars avec le titre Pushermen, dévoilé en avant-première via Under The Radar. « C’est l’une de ces chansons qui s’est imposée d’elle-même pendant qu’on s’amusait,” explique le groupe. “Nous étions littéralement piégés chez moi à cause du couvre-feu imposé par le Covid. Guitare à la main, nous examinions l’état du monde ainsi que la division et la méfiance croissantes que nous observions non seulement dans les médias, mais aussi parmi les gens que nous connaissons. Quelqu’un a plaisanté en disant que nous devrions quitter le groupe et nous lancer dans le commerce des vaccins, et c’est ainsi que nous avons eu notre refrain. Un refrain qui se termine sur une note plus sérieuse : nous ne voulons pas être victimes de notre époque. On a essayé de rendre les paroles suffisamment ambiguës pour que l’on ne sache pas vraiment de quel côté se trouve le narrateur. En fin de compte, nous sommes tous des gens qui vivent des vies différentes.”
Au sujet du clip, le groupe continue : “Pushermen, cela ressemble à un film d’action, n’est-ce pas ? Malheureusement, il nous manquait quelques millions, alors Hache a eu l’idée de faire une vidéo de casting pour un film fictif appelé Pushermen. Les scènes que nous avons tournées étaient vaguement basées sur le film Superfly.”