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Alors que la Coupe du monde féminine approche à grands pas, elle aura lieu à partir du 20 Juillet, la secrétaire générale de la Fifa, Fatma Samoura, lance un appel pressant aux chaînes de télévision pour qu’elles investissent davantage dans la diffusion de l’événement. La France, entre autres pays, se trouve actuellement sans diffuseur en raison de désaccords financiers. Fatma Samoura souligne l’importance de valoriser le football féminin à sa juste valeur et rappelle que les revenus générés par les droits médias contribueront au développement de ce sport. ActuaNews.fr vous en dit plus…

Alors que le coup d’envoi de la Coupe du monde féminine de football en Australie et en Nouvelle-Zélande se fera le 20 Juillet prochain, et se terminera avec la finale le 20 Aout, la question de la diffusion de l’événement suscite des préoccupations. La secrétaire générale de la Fifa, Fatma Samoura, a exprimé son inquiétude quant à l’absence de diffuseurs dans certains pays, dont la France, en raison de désaccords financiers.

Dans une interview accordée à l’AFP, Mme Samoura a insisté sur l’importance de trouver des accords satisfaisants pour assurer une couverture médiatique adéquate du Mondial féminin. Elle a rappelé que la France avait déjà organisé cet événement il y a quatre ans et qu’il serait surprenant de ne pas le diffuser cette fois-ci.

L’offre reçue par la Fifa ne répondait pas aux attentes de l’organisation, selon Mme Samoura, et le président de la Fifa, Gianni Infantino, a été clair à ce sujet. Elle a souligné que la Coupe du monde féminine était un produit de qualité, le plus prestigieux du sport féminin, et a exhorté les diffuseurs à lui accorder la valeur qu’elle mérite.

La secrétaire générale a également mis en lumière les difficultés liées aux horaires des matchs de l’équipe de France, programmés à midi en plein été, lorsque de nombreux spectateurs seront en vacances. Elle a appelé les chaînes de télévision à investir davantage et à revenir à la table des négociations, en proposant des prix en adéquation avec l’engouement suscité par le football féminin, particulièrement populaire en Europe et en France.

Alors que des accords de diffusion ont déjà été signés dans 155 pays, certains pays européens, dont l’Allemagne, l’Italie, l’Espagne et la France, sont encore en attente d’une solution. Cependant, la ministre des Sports française, Amélie Oudéa-Castera, s’est montrée optimiste quant à l’issue des négociations, soulignant l’engagement des diffuseurs à relever leurs offres.

Il est crucial pour la Fifa que les droits médias du Mondial féminin génèrent des revenus importants, car ces fonds seront réinvestis à 100% dans le développement du football féminin. Fatma Samoura a insisté sur le fait que le moment est venu de mettre en avant le football féminin et de lui accorder l’import

Avec des matchs qui seront diffusés en matinée, ou vers 12h ce qui sera le cas pour la France et les 3 premières rencontres, il est compliqué pour les chaines de mettre plus d’argent et de trouver une véritable rentabilité car en période de vacances, peu de personnes sont devant leur écran

Affaire à suivre