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Le célèbre concours Miss France est en train de faire un grand pas vers l’inclusion. Les critères d’éligibilité des participantes ont été assouplis récemment, après des années de controverse. Auparavant, les prétendantes au titre devaient être célibataires, sans enfants, âgées entre 18 et 24 ans, mesurer au moins 170 centimètres et ne pas avoir de tatouage. Des critères jugés discriminatoires par de nombreux observateurs.

Cependant, les choses ont commencé à changer samedi dernier, lors de l’élection de Miss Alpes du Sud. Pour la première fois dans l’histoire du concours, une mère de famille a remporté la couronne. Inès Chicot Roussel, âgée de 22 ans, a été couronnée Miss Alpes du Sud et a laissé éclater sa joie lors d’une interview pour le journal La Provence.

« On peut être une femme à part entière, maman et miss. Être la première maman à être élue miss, c’est un grand pas dans le monde des miss. Ça entre dans l’histoire donc c’est une belle première. » Cette victoire marque un tournant pour le concours Miss France, qui devient plus inclusif et plus représentatif de la diversité des femmes dans la société française.

Il est important de souligner que cette évolution est le résultat des efforts des organisateurs du concours, qui ont travaillé dur pour rendre le concours plus ouvert à toutes les femmes, quels que soient leur âge, leur situation familiale ou leur apparence physique. Cette victoire est donc une victoire pour l’égalité et la diversité, et elle montre que le concours Miss France est prêt à changer pour mieux refléter la réalité de la société française d’aujourd’hui.