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Les révélations de Vincent Shogun à propos de la téléréalité ne vont pas manquer de faire parler. L’ex-candidat s’est confié à Sam Zirah, dévoilant que l’expression « plein, y’en a assez, fraté » utilisée par les Marseillais serait en réalité un code pour désigner une ligne de cocaïne. Si aucune preuve ne permet de confirmer ses dires, Vincent Shogun affirme que les candidats étaient ravis de le voir arriver car il avait toujours quelques grammes sur lui.Il avoue même avoir apporté jusqu’à 50 grammes de drogue sur le plateau.

Cette révélation ne va pas manquer de choquer les fans de la téléréalité, qui se posent déjà des questions sur les pratiques des candidats et des équipes de production. Depuis plusieurs années, des rumeurs circulent sur la présence de drogue sur les tournages, sans qu’aucune preuve n’ait jamais été apportée.

Les Marseillais, émission phare de la téléréalité, est également connue pour les clashs qui y surviennent régulièrement. Si l’expression « plein, y’en a assez, fraté » est devenue culte pour les fans, elle risque aujourd’hui d’être associée à une pratique illégale.

Vincent Shogun n’a pour l’instant pas réagi aux réactions suscitées par ses déclarations. La production des Marseillais n’a pas non plus souhaité commenter cette affaire. Pour l’instant, il est difficile de savoir si ces accusations auront des conséquences sur l’émission ou sur la téléréalité en général. Une chose est sûre, cette révélation risque de marquer les esprits et de faire réfléchir sur les pratiques en coulisses de ces émissions très suivies par les jeunes.