Un virage cinématographique pour Bill Kaulitz

Un premier rôle au grand écran
Connu pour son charisme et son style singulier, Bill Kaulitz, figure emblématique de la scène musicale allemande, s’apprête à faire ses premiers pas dans l’univers du cinéma. Le chanteur de Tokio Hotel a été choisi pour jouer dans Brute 1986, un film d’horreur indépendant qui rend hommage aux classiques du genre.

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Cette nouvelle aventure marque une transition audacieuse pour l’artiste, dont l’influence dans le domaine musical est indéniable depuis la formation de son groupe en 2001. Son apparition dans un long-métrage constitue une étape inédite dans sa carrière.


Un film inspiré des slashers des années 80
Brute 1986 s’inscrit dans la lignée des films d’horreur cultes comme Halloween ou Vendredi 13. L’intrigue suit un groupe de glam rock, Leather Kobra, venu tourner un clip dans une ville abandonnée en plein désert.

Ignorant les panneaux d’interdiction, les musiciens ne se doutent pas qu’ils sont épiés par la famille Birdy, qui leur réserve un sort d’une brutalité extrême et inventive. Une atmosphère angoissante et un scénario sanglant sont donc à prévoir pour ce film qui s’annonce terrifiant.


Un casting prometteur et une équipe passionnée

Une distribution variée pour un film attendu
Aux côtés de Bill Kaulitz, Brute 1986 réunit un casting éclectique avec des acteurs issus du cinéma de genre, notamment Gigi Gustin (Stiletto), Sarah French (Blind), Pancho Moler (3 From Hell), Lew Temple (The Devil’s Rejects), Heather Grace Hancock (Wicked City) et Dazelle Yvette (Garden of Eden).

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Le film est réalisé par Marcel Walz (That’s a Wrap), sur un scénario de Joe Knetter (Twilight of the Dead). La production est assurée par Dirk et Tobias Schürmann, tandis que la photographie est dirigée par Marcus Friedlander (Sleepwalker).


Une expérience mémorable pour l’équipe
Le réalisateur Marcel Walz n’a pas caché son enthousiasme quant à la participation de Bill Kaulitz au projet. Grand amateur des slashers des années 80, il s’est inspiré de références cultes comme Sleepaway Camp ou The Burning pour façonner son œuvre.

Dans une déclaration, Walz a salué l’implication totale du chanteur sur le tournage, soulignant son professionnalisme et sa préparation minutieuse. Il se dit impatient que le public découvre cette nouvelle facette de l’artiste, qui semble avoir relevé le défi avec brio.



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