Ahmed Sylla se métamorphose dans “L’Infiltrée”, une comédie qui assume le grand écart (VIDEO)
Ahmed Sylla réalise et interprète “L’Infiltrée”, une comédie attendue en salles le 11 février. Bande-annonce, intrigue et casting du film événement.
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Ahmed Sylla réalise et interprète “L’Infiltrée”, une comédie attendue en salles le 11 février. Bande-annonce, intrigue et casting du film événement.
Présentée comme l’une des comédies françaises les plus attendues du début d’année, L’Infiltrée marque une étape importante dans le parcours d’Ahmed Sylla. À la fois acteur principal et réalisateur pour la première fois, l’humoriste signe un film qui mise sur le travestissement, l’absurde et une mécanique comique assumée. Attendu en salles le 11 février, le long métrage vient de dévoiler sa bande-annonce, donnant un premier aperçu de son ton et de ses ambitions.

Une bande-annonce qui pose le décor
Dévoilée récemment, la bande-annonce de L’Infiltrée installe immédiatement l’univers du film. Le spectateur y découvre une comédie qui revendique son goût pour le burlesque et les situations improbables. Le rythme soutenu, les dialogues appuyés et les transformations physiques du personnage principal annoncent un film qui cherche avant tout à provoquer le rire.
Un film attendu dès sa présentation en festival
Sélectionné hors compétition au Festival de l’Alpe d’Huez 2026, L’Infiltrée s’inscrit dans une tradition de comédies populaires présentées en avant-première dans ce rendez-vous dédié au genre. Cette sélection contribue à installer le film comme un sérieux prétendant au divertissement grand public, avec l’ambition de marquer le début de l’année cinématographique.
Un premier long métrage en tant que réalisateur
Avec L’Infiltrée, Ahmed Sylla franchit un cap important en signant son premier long métrage comme réalisateur. Jusqu’ici principalement connu pour ses performances d’acteur et d’humoriste, il s’essaie ici à la mise en scène, tout en conservant le rôle principal. Cette double casquette témoigne d’une volonté affirmée de s’investir pleinement dans le projet.
Un retour remarqué après une année chargée
Après avoir été à l’affiche de plusieurs comédies en 2024, Ahmed Sylla s’était montré plus discret sur grand écran. L’Infiltrée marque donc son retour avec un projet singulier, à la fois personnel et ambitieux. Le film lui permet également d’explorer un registre physique et visuel différent, reposant sur la transformation et le jeu de composition.
Un policier maladroit plongé dans l’infiltration
L’histoire suit Maxime, un fonctionnaire de police peu sûr de lui, qui rêve de devenir agent infiltré. Lorsqu’on lui confie une mission particulièrement sensible, il se retrouve contraint d’adopter une identité féminine pour approcher un gang redouté. C’est ainsi que naît Lupita, alter ego inattendu chargé de mener l’opération à bien.
Le travestissement comme moteur comique
Le film repose largement sur ce principe de transformation, déjà familier aux spectateurs d’Ahmed Sylla, notamment à travers certaines de ses imitations. Ici, le travestissement devient un ressort central du récit, générant quiproquos, situations absurdes et décalages constants entre l’identité réelle du personnage et celle qu’il doit incarner pour mener sa mission.
Des visages connus de la comédie et du cinéma français
Aux côtés d’Ahmed Sylla, L’Infiltrée réunit un casting varié, composé notamment de Michèle Laroque et Kaaris. Cette association d’acteurs issus d’univers différents participe à l’identité du film, mêlant comédie populaire et figures plus inattendues. Sandra Parfait, Amaury de Crayencour, Ichem Bougheraba, Chantal Ladesou et Cindy Bruna complètent la distribution.
Un antagoniste au centre des enjeux
Le gang infiltré par Lupita est dirigé par un personnage surnommé “Tonton”, présenté comme redoutable. Sans dévoiler les détails de son rôle, la bande-annonce laisse entendre que cet antagoniste sera un élément clé de la dynamique du récit, renforçant les tensions comiques et les situations à risque pour le héros.
Un film sans détour sur ses ambitions
L’Infiltrée ne cherche pas à masquer ses intentions. Le long métrage assume pleinement sa vocation première : divertir et faire rire. Cette approche directe s’inscrit dans une tradition de comédies françaises qui misent sur l’efficacité des situations et l’énergie de leurs interprètes plutôt que sur la subtilité du propos.
Une opération séduction déjà engagée
Avec la diffusion de la bande-annonce, la promotion du film entre dans une phase active. Le ton est donné, l’univers présenté et la curiosité du public éveillée. Reste désormais à découvrir si le film parviendra à transformer cette promesse en succès en salles lors de sa sortie prévue le 11 février.
Un rendez-vous fixé avec le public
Présenté en festival et porté par une figure populaire, L’Infiltrée bénéficie d’une visibilité importante avant même sa sortie. La curiosité autour de la première réalisation d’Ahmed Sylla constitue l’un des principaux moteurs de l’attente.
Une comédie sous le signe de la transformation
Entre changement d’identité, infiltration et travestissement, le film s’annonce comme une comédie de transformation, autant pour son personnage principal que pour son réalisateur. Une proposition qui intrigue et qui pourrait bien trouver son public dès les premières semaines d’exploitation.
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