Bryan Fuller passe de la télévision au grand écran

Un réalisateur au style singulier

Bryan Fuller, connu pour son univers visuel sombre et poétique dans des séries comme Hannibal, Pushing Daisies ou American Gods, se lance pour la première fois dans la réalisation d’un long-métrage. Avec Dust Bunny, il transpose au cinéma son sens du détail, sa fascination pour l’esthétique morbide et sa capacité à mêler horreur et beauté.

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Une histoire entre conte et cauchemar

La bande-annonce nous plonge dans le quotidien d’Aurora, une fillette de 10 ans persuadée qu’un monstre sous son lit a dévoré toute sa famille. Désemparée, elle se tourne vers son voisin énigmatique, un tueur à gages spécialisé dans l’élimination de « monstres bien réels ». À travers ce point de départ insolite, Fuller propose une fable horrifique teintée de surréalisme.


Une distribution prestigieuse pour un projet ambitieux

Le retour du duo Fuller–Mikkelsen

Mads Mikkelsen incarne ce voisin ténébreux, à la fois protecteur et inquiétant. L’acteur danois retrouve ainsi Bryan Fuller, dix ans après leur collaboration marquante dans Hannibal, série devenue culte pour son atmosphère raffinée et dérangeante. Cette réunion artistique suscite déjà l’enthousiasme des amateurs de frissons psychologiques.

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Sigourney Weaver, icône de l’horreur et de la science-fiction

Autre atout majeur : la présence de Sigourney Weaver, figure incontournable depuis la saga Alien. Son implication dans Dust Bunny confère au projet une dimension supplémentaire, renforçant son attrait auprès du public amateur de cinéma de genre. Avec Mikkelsen, elle promet une intensité dramatique rare.


Une œuvre qui brouille les frontières entre réalité et imagination

Un conte gothique moderne

Le film ne se contente pas de jouer sur la peur enfantine du monstre sous le lit. La mise en scène suggère une réflexion plus large sur les traumatismes, la solitude et la perception de la réalité. Fuller emprunte au conte gothique tout en injectant une tension psychologique proche du thriller.

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Une esthétique visuelle à la hauteur des attentes

La bande-annonce révèle une atmosphère sombre mais presque féerique, où chaque image oscille entre rêve et cauchemar. Fidèle à son style, Fuller joue sur des contrastes saisissants : couleurs saturées, ombres oppressantes et symbolisme visuel fort. Ce mélange promet un film où l’horreur dépasse le simple effet de peur pour interroger l’imaginaire collectif.



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