Star Academy : Les salaires des professeurs enfin dévoilés
Les salaires des professeurs de la Star Academy ont été révélés, avec Michael Goldman largement en tête. Découvrez les montants et les écarts.
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Les salaires des professeurs de la Star Academy ont été révélés, avec Michael Goldman largement en tête. Découvrez les montants et les écarts.
Les rémunérations des professeurs de la Star Academy ont été rendues publiques, levant le voile sur des écarts significatifs entre les membres de l’équipe pédagogique. En tête de ces révélations figure Michael Goldman, directeur du programme, dont le cachet dépasse largement celui de ses collègues, illustrant les enjeux financiers d’une émission devenue un pilier du divertissement télévisé.

Depuis son retour à l’antenne, la Star Academy repose sur un encadrement pédagogique particulièrement présent auprès des élèves. Les professeurs accompagnent les candidats au quotidien, alternant cours techniques, répétitions et préparation des primes en direct. Cette implication constante, sur plusieurs mois, constitue l’un des piliers du succès du programme, tant sur le plan artistique que sur celui de l’audience.
Selon les informations publiées par Public, plusieurs membres de l’équipe auraient renégocié leurs cachets avant le lancement de la saison. Ces ajustements témoignent d’une revalorisation globale des rémunérations, à mesure que la Star Academy confirme son statut de programme phare. Toutefois, ces hausses ne sont ni uniformes ni équivalentes, et révèlent des disparités notables entre les différents rôles.
À la tête du classement figure Michael Goldman, directeur de la Star Academy. Son revenu pour la saison en cours serait estimé à environ 170 000 euros, soit une augmentation significative par rapport à l’édition précédente, où il percevait environ 100 000 euros. Cette hausse placerait son cachet à un niveau deux à trois fois supérieur à celui de la majorité des autres professeurs.
Toujours selon Public, Michael Goldman aurait négocié un cachet hebdomadaire d’environ 10 000 euros, ainsi que plusieurs avantages complémentaires dont les détails n’ont pas été rendus publics. Ce positionnement financier reflète l’importance stratégique de son rôle, à la fois en tant que figure d’autorité pédagogique et visage incarnant la continuité du programme auprès du public.
Parmi les nouveaux visages de cette saison, Jonathan Jenvrin, professeur de danse, occupe une place de choix. Sa rémunération serait estimée à environ 85 000 euros, à laquelle s’ajouterait un complément équivalent à 25 % de ce montant pour son rôle de directeur artistique des primes. Son arrivée a marqué un tournant artistique, avec des chorégraphies plus ambitieuses et des tableaux chantés et dansés particulièrement élaborés.
D’autres professeures historiques bénéficieraient d’une rémunération identique. Marlène Schaff, en charge de l’expression scénique, Lucie Bernardoni, répétitrice, et Sofia Morgavi, professeure de chant, percevraient chacune environ 68 000 euros pour la saison. Si ce montant serait resté stable pour Marlène Schaff et Lucie Bernardoni, Sofia Morgavi aurait, quant à elle, obtenu une revalorisation notable par rapport à l’édition précédente, où son salaire s’élevait à environ 32 000 euros.
Tous les membres de l’équipe ne bénéficient pas de cachets aussi élevés. Papy, professeur de théâtre, toucherait environ 51 000 euros pour la saison, un montant équivalent à celui de Ladji Doucouré, professeur de sport. Ces rémunérations, bien que confortables, restent en deçà de celles des figures centrales du programme.
Il est toutefois précisé que Ladji Doucouré percevait environ 32 000 euros la saison précédente. L’augmentation enregistrée cette année marque une reconnaissance accrue de son rôle auprès des élèves. De son côté, Fanny Delaigue, seconde répétitrice très impliquée dans le suivi quotidien des candidats, verrait son cachet atteindre environ 42 500 euros, contre seulement 12 000 euros auparavant, illustrant une progression salariale significative.
La publication de ces chiffres met en lumière la réalité économique d’un programme de divertissement majeur, où les responsabilités, la notoriété et l’ancienneté influencent fortement les rémunérations. Si la Star Academy continue de faire rêver les téléspectateurs, ces révélations rappellent que le succès artistique repose aussi sur des enjeux financiers bien réels. Entre reconnaissance professionnelle et disparités salariales, ces chiffres alimentent désormais le débat autour de la valorisation du travail pédagogique à la télévision.
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