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Prime Video s’apprête à dévoiler une nouvelle relecture de Sherlock Holmes avec Young Sherlock, une série ambitieuse qui s’intéresse aux origines du célèbre détective. Porté par Hero Fiennes Tiffin et supervisé par Guy Ritchie, le projet promet une approche résolument moderne d’un mythe littéraire universel.

Une nouvelle page dans l’histoire de Sherlock Holmes

Un personnage intemporel sans cesse réinventé

Avec Sherlock Holmes, la littérature a donné naissance à l’un des personnages les plus adaptés de l’histoire du cinéma et de la télévision. Aux côtés de figures comme Dracula, le détective imaginé par Sir Arthur Conan Doyle traverse les époques et les formats sans jamais perdre de son pouvoir de fascination. Young Sherlock s’inscrit dans cette longue tradition d’adaptations, tout en choisissant un angle inédit : celui de la jeunesse d’un homme encore loin de devenir le locataire mythique du 221B Baker Street.

Une série pensée comme une origin story

La série se présente comme un récit fondateur, retraçant les premières expériences d’un Sherlock Holmes encore brut, indiscipliné et en quête d’identité. Loin de l’image du génie méthodique et sûr de lui, Young Sherlock explore les failles, les excès et les tâtonnements d’un esprit en construction. Ce parti pris narratif permet d’éclairer la genèse d’un personnage que le public croit connaître, en révélant les événements qui ont forgé son caractère et son regard sur le monde.

Guy Ritchie, architecte d’une vision singulière

Le retour d’un réalisateur familier de l’univers

Guy Ritchie n’en est pas à sa première incursion dans l’univers de Sherlock Holmes. En 2009, il proposait déjà une version dynamique et musclée du détective, incarné par Robert Downey Jr., suivie d’un second volet tout aussi spectaculaire. Avec Young Sherlock, le cinéaste britannique revient à cette figure emblématique, cette fois dans un format sériel qui lui permet d’approfondir la psychologie du personnage sur la durée.

Une implication créative forte

Ritchie ne se contente pas d’un rôle symbolique : il réalise les deux premiers épisodes et intervient comme producteur exécutif sur l’ensemble de la série. Cette implication directe laisse présager une identité visuelle marquée et un ton narratif affirmé. Fidèle à son style, le réalisateur semble privilégier une mise en scène énergique et une narration rythmée, tout en s’inscrivant dans un cadre historique rigoureux, celui de l’Angleterre des années 1870.

Un Sherlock jeune, imparfait et confronté à l’injustice

Hero Fiennes Tiffin dans le rôle-titre

Le choix de Hero Fiennes Tiffin pour incarner Sherlock Holmes jeune marque une volonté claire de renouvellement. Connu notamment pour la saga After, l’acteur prête ses traits à un Holmes étudiant à l’université d’Oxford en 1870. Cette période de sa vie, rarement explorée à l’écran, devient le point de départ d’un parcours initiatique où le futur détective est confronté à une affaire de meurtre mettant directement sa liberté en danger.

Une intrigue aux dimensions internationales

Selon le synopsis officiel, cette première enquête entraîne Sherlock bien au-delà des murs d’Oxford. L’affaire révèle progressivement une conspiration d’ampleur mondiale, modifiant à jamais le cours de sa vie. Entre investigations académiques, péripéties à l’étranger et premières confrontations avec la violence du monde, la série promet un récit d’apprentissage intense, où l’intellect du héros se forge au contact du danger et de l’injustice.

Une distribution prestigieuse pour un projet ambitieux

Des seconds rôles solides et reconnus

Autour de Hero Fiennes Tiffin, Young Sherlock réunit un casting international particulièrement dense. Dónal Finn, remarqué dans The Wheel of Time, Zine Tseng, vue dans 3 Body Problem, ou encore Max Irons, connu pour Condor, apportent une diversité de profils et de registres. Cette pluralité contribue à donner à la série une envergure dramatique et émotionnelle plus large.

Des figures emblématiques du cinéma et de la télévision

La présence de comédiens confirmés comme Joseph Fiennes, Natascha McElhone ou Colin Firth renforce la crédibilité du projet. Ces acteurs, habitués aux productions d’envergure, incarnent des personnages clés dans l’entourage du jeune Holmes. Leur participation souligne l’ambition de Prime Video de proposer une série haut de gamme, capable de séduire aussi bien les amateurs de récits historiques que les passionnés de thrillers.

Une production pensée pour le long terme

Une équipe créative expérimentée

La série est créée pour la télévision par Matthew Parkhill, qui en assure également le rôle de showrunner. Il est entouré d’une équipe de producteurs exécutifs comprenant notamment Dhana Rivera Gilbert, Simon Maxwell et Ivan Atkinson. Cette structure créative vise à garantir une cohérence narrative sur l’ensemble des huit épisodes qui composent la première saison.

Une sortie déjà très attendue

Young Sherlock est attendue sur Prime Video le 4 mars 2026. Avec son positionnement d’origin story, son casting attractif et la signature de Guy Ritchie, la série s’annonce comme l’un des événements sériels majeurs de l’année. Elle ambitionne non seulement de revisiter un mythe, mais aussi d’attirer une nouvelle génération de spectateurs vers l’univers de Sherlock Holmes.

En s’attaquant à la jeunesse du plus célèbre détective de la littérature, Young Sherlock prend le pari délicat de renouveler un personnage surabondamment adapté. Soutenue par une vision forte, un casting solide et une approche narrative ambitieuse, la série pourrait bien offrir un regard inédit et durable sur un mythe intemporel.