Le divorce de Sia et Daniel Bernad se complique avec des accusations de rechute et une enquête CSAM. La garde de leur enfant Summi devient le centre d’un conflit judiciaire intense.
Le divorce de Sia et Daniel Bernad, initié en mars 2025, prend une tournure particulièrement conflictuelle. Entre allégations de rechute dans l’addiction et une enquête pour images d’abus sexuels sur mineurs, le litige s’intensifie autour de la garde de leur enfant, Summi.
Un divorce annoncé et des tensions financières
Des séparations pour “différences irréconciliables”
Sia avait déposé sa demande de divorce en mars 2025, invoquant des “différences irréconciliables”, conformément aux procédures de divorce sans faute. Le couple, marié depuis 2022, n’a donc pas atteint son troisième anniversaire de mariage. Dans sa requête, la chanteuse demandait la garde complète de leur enfant, Summi, né en 2024, tout en se montrant ouverte à des visites limitées pour Bernad.
Publicités
Des désaccords financiers importants
Les tensions se sont accrues avec des différends financiers. Daniel Bernad, ancien oncologue, réclame au tribunal plus de 250 000 dollars par mois de pension alimentaire ainsi qu’environ 80 000 dollars de pension pour l’enfant. Il affirme que Sia a cessé de financer leur entreprise commune, le laissant prétendument sans revenus. Ces conflits financiers, bien qu’importants, ne représentent qu’une partie des complications entourant cette séparation.
Une dispute autour de la garde aggravée par de graves accusations
Allégations de rechute et de danger pour l’enfant
Le divorce a pris un tournant dramatique lorsque Bernad a accusé Sia d’une rechute dans l’addiction, malgré ses quinze années de sobriété déclarées. Il demande désormais au tribunal de limiter ses visites à deux heures, trois fois par semaine, sous la surveillance d’un professionnel et d’imposer des tests de dépistage aléatoires. Ces mesures s’inscrivent dans le cadre de sa demande de garde exclusive de leur enfant.
Publicités
Une enquête CSAM ajoutée au conflit
De son côté, Sia a révélé que Bernad était soumis à des visites surveillées en raison d’une enquête de la LAPD et du DCFS concernant des images à caractère pédopornographique sur son ordinateur. Bien que l’enquête soit désormais close et jugée inconclusive, elle souhaite que les futures visites de Bernad soient encadrées par un tiers de confiance, comme une grand-mère ou une nounou, afin d’assurer la sécurité de Summi.
Complexité et incertitudes autour des accusations
Des éléments à vérifier par la justice
L’affaire présente des zones d’ombre. Sia pourrait avoir effectivement fait face à une rechute, mais aucune preuve concrète ne l’atteste. De même, la fermeture de l’enquête CSAM sans conclusion ne permet pas de trancher sur la question de la sécurité de l’enfant. Le tribunal devra analyser les rapports des autorités et les éléments médicaux avant de statuer.
Publicités
Des accusations graves de part et d’autre
Daniel Bernad a également accusé Sia d’avoir “planté” des preuves pour restreindre ses droits de visite. De telles accusations sont extrêmement sérieuses et, si elles étaient fondées, impliqueraient un processus judiciaire long et complexe. La prudence reste de mise dans l’évaluation de ces allégations, et les faits devront être établis par le juge sur la base d’éléments objectifs.
Un divorce sous le regard public
La médiatisation du litige
Le divorce de Sia, figure internationale de la musique pop, attire l’attention des médias et du public. Les fans et observateurs suivent de près les développements, entre inquiétude pour l’enfant et curiosité sur la tournure judiciaire. L’exposition médiatique ajoute une pression supplémentaire sur les deux parties, rendant la résolution amiable plus difficile.
Publicités
Un enjeu autour de la sécurité et de l’intérêt de l’enfant
Au cœur de ce litige se trouve le bien-être de Summi. La justice devra arbitrer entre les allégations de danger parental et les droits de visite de Bernad. L’évaluation précise du risque pour l’enfant guidera les décisions sur la garde et la supervision des visites.
Le divorce de Sia et Daniel Bernad illustre la complexité des séparations mêlant finances, accusations personnelles et enquêtes judiciaires sensibles. Entre allégations de rechute et inquiétudes pour la sécurité de leur enfant, la procédure judiciaire s’annonce longue et minutieuse. Les prochaines décisions du tribunal détermineront l’avenir de la garde de Summi et la dynamique familiale post-divorce.
En savoir plus sur ActuaNews.fr
Abonnez-vous pour recevoir les derniers articles par e-mail.