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La série dramatique historique The Gilded Age, créée par Julian Fellowes, est officiellement renouvelée pour une quatrième saison sur HBO. Ce succès renouvelé s’accompagne d’une hausse constante de l’audience, confirmant la place centrale de la série dans l’univers des productions télévisées de prestige.

Une série qui séduit de plus en plus

Une montée en puissance significative de l’audience
Alors que la troisième saison n’a pas encore livré son épilogue – celui-ci est prévu pour le 10 août – The Gilded Age connaît un essor remarquable. Depuis le début de la saison, les audiences du soir de diffusion ne cessent de croître, atteignant des records pendant deux semaines consécutives. Par rapport à la saison précédente, une progression de 20 % a été enregistrée.

L’enthousiasme des producteurs salué publiquement
Francesca Orsi, vice-présidente exécutive de la programmation HBO, a exprimé sa fierté face à cette dynamique : selon elle, la série est devenue un rendez-vous incontournable. Elle souligne le talent de Julian Fellowes et l’excellence du casting, qui réussissent à transporter les spectateurs dans le New York des années 1880 avec une intensité dramatique renouvelée chaque semaine.

Une production ambitieuse et fédératrice

L’appui constant d’Universal Television
Erin Underhill, présidente d’Universal Television, coproducteur de la série, a également salué la qualité de cette fresque historique. Elle met en avant les performances des acteurs, la richesse narrative et la qualité de la reconstitution historique. Selon elle, chaque nouvelle saison ne fait que renforcer l’attachement du public pour cet univers élégant et impitoyable.

Un casting pléthorique et prestigieux
La série repose sur une distribution impressionnante qui réunit des figures reconnues du théâtre et de la télévision américaine, telles que Carrie Coon, Christine Baranski, Cynthia Nixon ou encore Morgan Spector. Ce large éventail de personnages donne vie à un récit choral, où se croisent ambitions, conflits de classes et manœuvres sociales dans l’Amérique post-guerre de Sécession.

Une mécanique bien huilée derrière la caméra

Un créateur à la hauteur de sa réputation
Julian Fellowes, déjà salué pour le succès international de Downton Abbey, conserve la direction créative de la série. Il est entouré de Gareth Neame, David Crockett et Bob Greenblatt à la production exécutive. L’ensemble bénéficie d’une cohésion artistique qui conforte l’identité forte de la série.

Une équipe technique chevronnée pour une immersion totale
La réalisation est assurée notamment par Michael Engler et Salli Richardson-Whitfield, également producteurs exécutifs. À l’écriture, Sonja Warfield apporte sa plume au scénario, accompagnée d’Erica Armstrong Dunbar à la coproduction exécutive. L’attention portée aux décors, costumes et ambiances sonores contribue à l’ancrage réaliste de cette fresque aristocratique.

Alors que la troisième saison touche bientôt à sa fin, la promesse d’une quatrième salve d’épisodes laisse entrevoir de nouveaux bouleversements dans la haute société new-yorkaise de la fin du XIXe siècle. HBO confirme, une fois de plus, sa capacité à inscrire dans la durée des séries de prestige. La réussite de The Gilded Age repose autant sur la qualité narrative que sur la rigueur de sa mise en scène.