Découvrez You Gotta Lose, le nouveau single de The Vine Street Shuffle avec Neal Black. Un hommage vibrant au blues électrique d’Earl Hooker, à travers un projet authentique et puissant signé Rock’n’Hall / Dixiefrog.
Le trio français The Vine Street Shuffle signe un retour fracassant avec “You Gotta Lose”, un premier single envoûtant interprété par Neal Black. En redonnant vie à l’héritage d’Earl Hooker, ces passionnés de blues plongent l’auditeur dans le Chicago des années 50 avec une énergie et une authenticité rares.
Un trio français aux racines profondément américaines
Retour aux sources du blues électrique Avec The Vine Street Shuffle does Earl Hooker, The Vine Street Shuffle rend un hommage vibrant à l’âge d’or du blues électrique, tel qu’il résonnait dans les studios de Chess Records dans les années 50. Le trio instrumental, composé de Philippe Quinette à la contrebasse, Aliocha Thévenet à la guitare et Marc Delmas à la batterie, puise directement dans l’univers sonore d’Elmore James, Big Bill Broonzy, Willie Dixon ou encore Albert King.
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Un premier single brûlant porté par Neal Black Le morceau You Gotta Lose, extrait de l’album, marque une collaboration percutante avec le chanteur et guitariste américain Neal Black. Ce titre incarne toute la puissance expressive du groupe, alliant la voix rauque de Black à la précision rythmique du trio. C’est un blues cru, tendu, sans fioriture, à la hauteur de ses illustres inspirations.
Un projet musical à la fois fidèle et audacieux
Un hommage à Earl Hooker, guitariste culte du blues Le choix de centrer ce premier album autour de l’œuvre d’Earl Hooker n’est pas anodin. Cousin de John Lee Hooker et musicien de studio réputé, Hooker a marqué son époque par son jeu de slide spectaculaire et sa célèbre guitare à double manche. En explorant son répertoire, souvent méconnu, The Vine Street Shuffle ravive une mémoire musicale essentielle à la culture blues.
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Un casting d’invités prestigieux pour enrichir le son Afin de donner corps à ce projet, le trio a convié plusieurs musiciens renommés à participer à l’enregistrement. Outre Neal Black, on retrouve Sophie Malbec au chant sur You Don’t Want Me, Denis Agenet sur The Misfit, Jean-Marc Henaux à l’harmonica sur Dynamite et Blue Guitar, et Laurent Cokelaere à la basse sur deux titres. Chacun apporte sa touche, tout en s’intégrant parfaitement dans l’univers du groupe.
Une signature sonore affirmée et sans concessions
Une production soignée au service du feeling The Vine Street Shuffle ne laisse rien au hasard. Leur approche du blues est marquée par un profond respect des textures sonores d’époque, avec une production minutieuse, fidèle aux racines du genre. Le trio évite les clichés, opte pour des morceaux oubliés plutôt que les sempiternels classiques, et construit un répertoire cohérent, sincère et résolument organique.
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Un ancrage fort dans la scène blues hexagonale Le groupe s’est imposé au fil des années comme une référence sur la scène blues française, notamment grâce à leurs tournées avec Cincinnati Slim, Fred Chapellier ou encore Sophie Malbec. Leur signature récente avec le label Rock’n’Hall / Dixiefrog, spécialiste du blues en France, confirme leur légitimité et leur ambition artistique.
Un album qui s’écoute fort et se vit intensément
Un voyage musical dans l’Amérique d’hier À travers ses douze titres, The Vine Street Shuffle does Earl Hooker propose un véritable voyage auditif. Chaque morceau, servi par l’interprétation précise et habitée du trio, plonge l’auditeur dans l’ambiance électrique des clubs de Chicago des années 50 et 60. C’est une expérience sensorielle autant qu’une relecture historique.
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Une modernité discrète dans un hommage fidèle Sans jamais trahir les codes du genre, The Vine Street Shuffle insuffle une énergie contemporaine à un répertoire vintage. Le groove, l’intensité des interprétations et la sincérité qui habite chaque note rendent cet album accessible bien au-delà du cercle des puristes. You Gotta Lose en est la parfaite illustration.
Avec ce premier album, The Vine Street Shuffle s’impose comme un trio à suivre de près. À la fois enraciné dans la tradition et porté par une exigence artistique rare, le groupe rend hommage à une légende oubliée du blues tout en proposant un projet vibrant, vivant et résolument intemporel. Une réussite.
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