Debbie Tebbs dévoile “J’en ai marre”, un premier extrait percutant de son prochain album Club Orchestra, attendu pour le 5 octobre. Ce morceau marque un virage musical assumé pour l’artiste montréalaise, après une année de travail entre Montréal et Paris. La chanson s’impose dès les premières secondes avec une production puissante, fusionnant textures industrielles, basses percutantes et nappes synthétiques limpides.

Publicités

À la réalisation, Tebbs s’entoure des compositeurs français BLV (Imagine Dragons, Nekfeu) et Pegazi (Universal Music France), apportant une touche internationale à ce nouveau projet. Derrière l’énergie brute du morceau, la chanteuse livre un cri du cœur : surcharge mentale, pression des réseaux, quête de reconnaissance. Elle y dénonce sans détour les exigences d’une industrie vorace, tout en exprimant une fatigue intime et universelle. Ce premier titre annonce une direction artistique audacieuse, plus radicale et introspective que jamais.

Figure emblématique de la scène électro-pop depuis plus de 25 ans, Debbie Tebbs n’a cessé d’évoluer tout en restant fidèle à une signature sonore mêlant énergie électro et finesse pop. Récompensée aux Montreal DJ Awards, saluée par le GAMIQ à plusieurs reprises, elle a imposé son style de Montréal à Paris, en passant par les États-Unis. Son parcours témoigne d’une capacité rare à se renouveler, à anticiper les tendances tout en cultivant une identité forte et singulière.

Publicités

Avec J’en ai marre, elle renoue avec une forme d’urgence artistique, mêlant la rage à la lucidité, le rythme à la réflexion. Ce nouveau chapitre, influencé par la house, l’électro et la french touch, s’annonce comme l’un des plus personnels de sa carrière. Sa voix, à la fois vulnérable et résolue, agit comme un catalyseur émotionnel sur un fond sonore millimétré. Club Orchestra promet ainsi d’être un album-manifeste, entre hédonisme sonore et introspection viscérale.

Debbie Tebbs revient avec un message fort et une proposition sonore affûtée. J’en ai marre ne se contente pas de faire danser : il frappe, interroge, bouleverse. Le 5 octobre, Club Orchestra marquera sans doute une nouvelle page marquante de l’électro francophone.


En savoir plus sur ActuaNews.fr

Abonnez-vous pour recevoir les derniers articles par e-mail.

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.