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Placée en maison de repos d’urgence, Marianne, ex-candidate de Secret Story 13, raconte avoir voulu mettre fin à ses jours face au cyberharcèlement massif qu’elle subit. La production est contrainte d’intervenir, révélant une crise sans précédent dans l’histoire de l’émission.

Une 13e saison sous haute tension

Des débordements inédits dans la maison des secrets

Jamais la production de Secret Story n’avait dû intervenir à ce point pour recadrer ses candidats. Cette 13ᵉ saison se distingue en effet par des comportements jugés inacceptables, poussant même une productrice à interrompre le jeu pour rappeler les règles de respect et de bienveillance censées guider les participants. Une mesure rarissime qui souligne l’ampleur des tensions et des accusations de harcèlement au sein même de la maison.

La production sommée de réagir face aux critiques

Plusieurs candidats, dont Marianne, ont été accusés de propos et d’attitudes racistes envers d’autres participantes. Ces accusations, largement relayées sur les réseaux sociaux, ont déclenché une vague d’indignation. Face à l’ampleur des polémiques, la production a dû rappeler publiquement les valeurs de l’émission et menacer de sanctions disciplinaires, allant jusqu’à envisager des exclusions pour préserver l’esprit du programme.

L’après Secret Story : une violence inouïe en ligne

Une élimination suivie d’un cyberharcèlement massif

Rapidement évincée du jeu par le public, Marianne s’est retrouvée à la sortie de l’émission confrontée à une haine sans précédent. Dans une interview diffusée par le blogueur Jeremstar, la jeune femme de 34 ans a confié qu’elle recevait quotidiennement insultes et menaces de mort. Ces attaques violentes ont plongé l’ex-candidate dans un profond désespoir, au point de ne plus manger ni sortir, et de confier ses pensées suicidaires en larmes.

« J’avais envie de mourir » : la détresse de Marianne

Lors de cette longue interview, Marianne a reconnu comprendre la gravité des critiques qui lui sont adressées, tout en présentant des excuses publiques. Elle évoque un montage qui, selon elle, ne montrait pas les moments plus légers et insiste sur le fait qu’elle n’a jamais voulu blesser qui que ce soit. Face à l’ampleur de la haine reçue, elle a supplié pour être hospitalisée, affirmant ne plus voir d’issue et déclarant : « Je me sens détruite. »

Une hospitalisation sans précédent dans l’histoire du programme

Une mise en repos décidée dans l’urgence

Devant la gravité de la situation, la production et Marianne ont pris la décision commune de la placer en maison de repos. Jeremstar a précisé qu’il s’agissait d’une première en treize saisons de Secret Story : jamais encore un participant n’avait dû être hospitalisé en urgence pour faire face à un tel niveau de détresse psychologique. Cette situation extrême met en lumière les dérives et la violence que peuvent générer l’exposition médiatique et les réseaux sociaux.

Des appels à l’apaisement et à la responsabilité

Christophe Beaugrand, animateur de Secret Story, a pris la parole lors du dernier prime pour dénoncer le cyberharcèlement subi par Marianne. Il a rappelé que ces faits sont des délits punis par la loi et a exhorté le public à faire preuve d’humanité et de bienveillance. Il a adressé un message personnel de soutien à Marianne en direct, soulignant l’urgence de mettre fin à la haine en ligne et d’apprendre à débattre sans violence.

La production sous le feu des critiques

Des accusations de manipulation des images

Marianne n’est pas la seule à dénoncer le traitement réservé aux candidats. Elle affirme que certaines séquences ont été montées de manière à la faire passer pour quelqu’un qu’elle n’est pas, occultant les moments plus nuancés. Ces accusations relancent le débat sur la responsabilité des productions de télé-réalité, soupçonnées de privilégier le sensationnalisme au détriment de l’équilibre psychologique des participants.

Le témoignage d’une ancienne candidate

Shine, participante emblématique d’une précédente saison, a également pris la parole pour soutenir Marianne et critiquer la production. Elle a dénoncé la manière dont certaines images peuvent être coupées et sorties de leur contexte pour façonner un « personnage ». Selon elle, la production doit désormais assumer pleinement sa part de responsabilité et ne pas abandonner ses candidats une fois les caméras éteintes.

En définitive, l’affaire Marianne met en lumière les dérives toujours plus préoccupantes de la télé-réalité et la responsabilité des producteurs face aux conséquences réelles sur la vie des candidats. Cette crise inédite sonne comme un avertissement : il est urgent de repenser les règles éthiques encadrant ces programmes pour protéger ceux qui y participent.