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Kendji Girac frappe fort avec « Un, dos, tres », une reprise réinventée du célèbre « Maria » de Ricky Martin. En adaptant ce tube des années 90 à son univers gipsy, il entend bien offrir la bande-son incontournable de l’été 2025.

Kendji Girac revisite un classique des années 90

Un retour aux sources avec une reprise emblématique

Cet été s’annonce musicalement intense grâce à Kendji Girac, qui choisit de reprendre un titre culte des années 90 : « Maria » de Ricky Martin. Rebaptisé « Un, dos, tres », ce nouveau morceau s’impose comme une version modernisée et personnalisée du tube qui avait enflammé les charts en 1997, occupant la première place des ventes pendant neuf semaines consécutives en France.

Une approche résolument personnelle et fidèle à son style

Si Kendji conserve la structure et certains accords caractéristiques du morceau original, il opère néanmoins une transformation profonde. Exit les sonorités typiquement « club » de l’époque : place à la guitare acoustique et à une ambiance aux accents gitans qui correspondent parfaitement à sa signature musicale. Cette adaptation dévoile ainsi une facette plus intime et authentique de la chanson.

Une atmosphère estivale soigneusement travaillée

Des paroles réécrites pour séduire un nouveau public

Le refrain reste dans l’esprit du morceau de Ricky Martin, mais Kendji propose des paroles revisitées qui racontent l’histoire d’une femme au caractère affirmé, magnifiée par son tempérament séduisant. Cette approche narrative et moderne permet à la chanson de trouver un nouvel écho auprès du public, tout en respectant la dimension festive et envoûtante de la version originale.

Une ambiance chaleureuse et méditerranéenne

Pour illustrer la sortie de « Un, dos, tres », Kendji Girac s’est montré très actif sur les réseaux sociaux, publiant plusieurs vidéos où on le voit chanter son titre sur la plage ou dans un restaurant. Ces séquences capturent parfaitement l’esprit estival qu’il souhaite transmettre : un cadre chaleureux, des amis, des guitares et la mer en toile de fond. Une invitation à la fête, mais aussi à la convivialité.

Une sortie stratégique pour devenir le tube de l’été

Un lancement pensé pour marquer les esprits

Le titre a été dévoilé le 4 juillet à minuit sur toutes les plateformes de streaming, une date idéale pour accompagner le début des vacances d’été. Avec ce timing soigneusement choisi, Kendji espère séduire les amateurs de soirées festives et devenir incontournable sur les playlists estivales. Le choix d’une reprise connue de plusieurs générations est également un atout pour fédérer un public large.

Une référence à ses débuts dans The Voice

Ce morceau revêt une dimension particulière pour Kendji Girac. C’est en effet avec cette chanson qu’il s’était illustré il y a onze ans lors de la tournée The Voice, lançant ainsi sa carrière auprès du grand public. Cette reprise sonne donc comme un retour aux sources, tout en affichant le chemin parcouru par l’artiste depuis ses premiers pas sur scène. Un clin d’œil assumé à ses fans de la première heure.

Kendji Girac, fidèle à son ADN artistique

Un artiste habitué aux reprises marquantes

Cette stratégie n’est pas nouvelle pour Kendji, qui s’est déjà illustré avec succès dans l’exercice de la reprise. Ses interprétations de « Bella » de Gims ou encore « Vivo per lei » d’Andrea Bocelli ont participé à asseoir sa popularité. « Un, dos, tres » s’inscrit donc dans la continuité d’un savoir-faire reconnu : transformer des classiques en titres personnels et chaleureux.

Une promesse d’hymne estival assumée

Sur ses réseaux sociaux, Kendji Girac ne cache pas ses ambitions : « L’été sera chaud, très chaud », écrit-il, entouré de ses musiciens sur une terrasse méditerranéenne. Tout est fait pour installer « Un, dos, tres » comme l’un des hymnes incontournables de l’été 2025. Avec ses sonorités solaires et sa dimension festive, le pari semble en bonne voie pour séduire un large public et marquer la saison.

Avec « Un, dos, tres », Kendji Girac propose une reprise à la fois fidèle et personnelle d’un tube emblématique des années 90. Il réussit à insuffler sa patte gipsy tout en préservant l’énergie festive qui avait fait le succès de « Maria ». De quoi promettre de belles soirées d’été au son de sa guitare et de sa voix chaleureuse.