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Vingt ans après leur dernier album, les Poetic Lover — désormais rebaptisés Poetic — reviennent avec un nouveau titre poignant, « Il faut vivre ». Un morceau à la croisée du RnB et du hip-hop new-yorkais qui ravive la flamme d’un groupe emblématique de la scène française des années 90. Découvrez le nouveau clip sur ActuaNews…

UNE RÉAPPARITION ATTENDUE APRÈS DEUX DÉCENNIES

Un retour discret mais marquant sur la scène musicale
Les amateurs de RnB des années 90 se souviennent avec émotion de Poetic Lover, groupe révélé à la fin du siècle dernier. Après plus de vingt ans d’absence discographique, les membres du groupe signent un retour inattendu avec le titre inédit Il faut vivre, accompagné d’un clip qui marque le début, peut-être, d’un nouveau chapitre musical.

Des origines télévisuelles à un premier album à succès
Poetic Lover, formé à Noisy-le-Grand, a connu ses premières heures de gloire grâce à l’émission Graines de star, animée par Laurent Boyer sur M6. Leur passage remarqué leur ouvre les portes du succès, avec un premier album intitulé Amants Poétiques, porté par les titres phares Prenons notre temps et Fier d’avoir ton love. Le groupe devient alors l’un des emblèmes du RnB francophone.

UNE NOUVELLE IDENTITÉ POUR UN NOUVEAU DÉPART

Poetic Lover devient Poetic : la continuité d’une histoire
Pour cette renaissance artistique, le groupe opte pour une identité raccourcie : Poetic. Ce changement symbolique marque une volonté de se réinventer tout en restant fidèle à l’essence de leurs débuts. Rudy, Jay, Rhodes et Dré n’ont rien perdu de leur complicité ni de leur sensibilité musicale, comme en témoigne leur nouveau morceau.

Un titre fort, entre introspection et message universel
Il faut vivre, chanté par Rudy et Jay, aborde des thématiques profondes telles que la douleur, l’acceptation du destin et la résilience. Les paroles évoquent des moments d’égarement, des périodes sombres, mais rappellent aussi qu’il faut se relever, continuer de rêver et croire à des lendemains meilleurs. Une ode à la persévérance, portée par des voix toujours aussi touchantes.

UNE ESTHÉTIQUE TRAVAILLÉE ENTRE NOSTALGIE ET MODERNITÉ

Une production soignée aux accents hip-hop new-yorkais
Musicalement, le groupe propose une instrumentation marquée par des sonorités hip-hop empruntées à l’ambiance urbaine de New York. Ce choix de production confère au titre une modernité assumée, tout en conservant la douceur et la mélodie qui ont fait la marque de fabrique du groupe. Le mélange fonctionne à merveille, créant un pont entre passé et présent.

Un clip visuellement cohérent avec l’univers du morceau
La vidéo qui accompagne Il faut vivre adopte également une esthétique urbaine. Le style visuel, résolument influencé par l’imagerie new-yorkaise, s’accorde parfaitement avec l’atmosphère musicale du morceau. Sans effets tapageurs, le clip mise sur l’authenticité et l’émotion, renforçant le message du titre : malgré les épreuves, il faut continuer d’avancer.

UN PROJET PROMETTEUR ET DÉJÀ ENGAGÉ

Le premier volet d’une trilogie en préparation
Il faut vivre constitue le premier acte d’un projet plus vaste. Ce titre s’inscrit dans l’EP trilogie Aeternam, dont la sortie est attendue avec curiosité. Ce choix de format narratif en plusieurs étapes semble annoncer une réflexion plus large sur le parcours de vie, l’amour, la perte et l’espoir, thèmes chers au groupe depuis ses débuts.

Une volonté de toucher un public intergénérationnel
Avec ce retour, Poetic s’adresse autant aux nostalgiques de leur époque glorieuse qu’aux nouvelles générations friandes de RnB sincère. La sincérité du propos, la justesse des voix et la cohérence musicale leur permettent de transcender les époques. Il faut vivre n’est pas un simple clin d’œil au passé, mais bel et bien une œuvre contemporaine, dans l’air du temps.

Avec Il faut vivre, Poetic signe un retour sincère, touchant et inspiré. Leur univers n’a rien perdu de sa force émotionnelle, et ce nouveau projet s’annonce déjà comme un tournant important dans leur carrière. Un comeback réussi, qui ravira les fans de la première heure comme les auditeurs d’aujourd’hui.