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La chanteuse à succès Aya Nakamura est de retour avec « Baddies », un titre aux sonorités afro-caribéennes en featuring avec Joé Dwèt Filé. Ce morceau sensuel, dévoilé le 15 mai, s’impose déjà comme un incontournable de l’été. Découvrez le clip sur ActuaNews…

UN DUO EXPLOSIF POUR LANCER LA SAISON ESTIVALE

Une collaboration inédite entre deux poids lourds

Ce jeudi 15 mai, Aya Nakamura a dévoilé son nouveau single intitulé Baddies, en duo avec l’artiste franco-haïtien Joé Dwèt Filé. Ce dernier est reconnu pour son influence dans les genres zouk et kompa, notamment grâce à son titre « 4 Kampé », qui l’a révélé au grand public. La rencontre entre ces deux univers artistiques promettait une fusion musicale réussie, et le résultat ne déçoit pas.

Un morceau taillé pour faire danser

Baddies mêle habilement RnB, afrobeat et rythmes caribéens. La voix suave d’Aya Nakamura s’accorde parfaitement à celle de Joé Dwèt Filé pour donner vie à un titre à la fois sensuel et entraînant. Le clip, mis en ligne simultanément sur YouTube, se distingue par son ambiance estivale, ses couleurs vives et des scènes tournées dans une villa luxueuse, ponctuées par l’arrivée spectaculaire de Joé Dwèt Filé en hélicoptère.

UN ACCUEIL CHALEUREUX PAR LE PUBLIC ET LES FANS

Un retour salué avec enthousiasme

Quelques jours après avoir été distinguée aux Flammes, cérémonie où elle a remporté le prix du rayonnement international, Aya Nakamura enchaîne avec ce nouveau titre. Sur les réseaux sociaux, l’engouement est immédiat. Les commentaires positifs affluent sous la vidéo de Baddies : « Le duo qu’on attendait », « Déjà dans ma playlist », ou encore « La reine a encore frappé !!! ».

Une esthétique qui évoque ses débuts

Un détail visuel n’a pas échappé aux fans : la perruque bleue arborée par la chanteuse dans le clip fait écho à celle qu’elle portait sur la pochette de son album Nakamura. Cet opus, certifié disque de diamant, comprenait déjà des tubes tels que Pookie, Copines ou encore l’incontournable Djadja. Pour ses admirateurs, ce clin d’œil visuel confirme que l’artiste revient à une période marquante de sa carrière.

UN PALMARÈS QUI NE CESSE DE S’ÉTOFFER

Des chiffres impressionnants

Aya Nakamura continue d’accumuler les records. Son clip Djadja, sorti en 2018, a franchi en février dernier le cap du milliard de vues sur YouTube. Il s’agit du quatrième titre en langue française à atteindre ce seuil, après Dernière Danse d’Indila, Papaoutai de Stromae et Ego de Willy William. À 30 ans, elle devient la plus jeune artiste française à accomplir cet exploit.

Une ascension fulgurante

Le succès de Djadja est également significatif à l’échelle internationale. Aya Nakamura est la première chanteuse francophone à dépasser le milliard de vues en aussi peu de temps – six ans – et la première artiste africaine à y parvenir. Ces distinctions confirment son statut de figure incontournable de la scène musicale mondiale, au-delà des frontières francophones.

UNE STRATÉGIE MUSICALE BIEN CALIBRÉE

Un retour progressif mais réfléchi

Depuis sa participation à la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris en juillet dernier, la chanteuse s’était faite relativement discrète. En février, elle a marqué son retour avec Chimiyé, un morceau coécrit avec Doums et Alpha Wann, aux accents R’n’B inspirés des années 2000. Ce single, plus introspectif, contrastait avec l’énergie solaire de Baddies.

Une position affirmée de hitmakeuse

Avec Baddies, Aya Nakamura confirme sa capacité à produire des morceaux qui marquent leur époque. En s’associant à Joé Dwèt Filé, elle montre une nouvelle fois son habileté à s’entourer d’artistes talentueux, tout en consolidant son image de leader dans le paysage musical francophone. Son retour en force annonce une saison estivale placée sous le signe du rythme et de la chaleur.

Avec Baddies, Aya Nakamura démontre une fois encore son sens aigu du timing et de la mélodie. En s’alliant à Joé Dwèt Filé, elle signe un titre fort et dansant, taillé pour les playlists d’été. Ce duo confirme sa place de référence incontournable dans la musique urbaine francophone.