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Avec son nouveau single “J’aime voir les garçons pleurer”, Robin Lucky frappe fort en dévoilant une émotion brute, longtemps enfouie sous les apparences. À seulement 23 ans, l’artiste francilien signe une trap mélodique aux accents pop, dans laquelle la vulnérabilité masculine est mise à nu sans détour. Robin Mysliva, de son vrai nom, s’inscrit dans une génération d’artistes qui mêlent authenticité et audace, à l’image de Jean Castel ou Bilal Hassani.

Pianiste depuis l’enfance, il découvre très jeune l’écriture musicale, qu’il développe après son installation à Paris. Là, il se forme à la musique actuelle et se passionne pour la production sur Ableton, façonnant peu à peu un univers électro-pop vibrant. “J’aime voir les garçons pleurer” marque ainsi une nouvelle étape dans son parcours, après le titre “CRISE”. Dans ce morceau, Robin choisit de transformer sa douleur en force, ses larmes en hymne, pour revendiquer une sensibilité trop souvent censurée chez les hommes.

Le single s’illustre par une production hybride mêlant trap orchestrale et pop française, portée par une interprétation intense et sans concession. Robin y mêle fragilité et fierté, affirmant haut et fort que la peine n’est pas une faiblesse. Le titre questionne les normes viriles et invite à un regard neuf sur la masculinité contemporaine.

La sincérité de son message se reflète dans chaque note, chaque mot, avec une intensité rare. Ce morceau est le premier extrait d’un EP à venir, promettant un projet où émotion, esthétique et révolte s’entrelacent. Robin Lucky y explore des thèmes comme la domination, la sensualité ou l’amour, sans jamais éluder la part d’ombre qui les habite. En brisant les tabous, il érige la musique en exutoire, en cri libérateur face aux injonctions de la société.

Avec “J’aime voir les garçons pleurer”, Robin Lucky propose bien plus qu’un simple single : une prise de position artistique forte, intime et résolument moderne. Un premier jalon solide pour un jeune artiste à suivre de très près.