Empire Studios prépare « Aladdin: The Monkey’s Paw », une relecture sombre du conte classique, avec un tournage prévu en mai 2025 au Royaume-Uni. Cette adaptation mêle horreur et désirs maudits, avec un protagoniste londonien héritant d’une patte de singe aux conséquences tragiques. Réalisé par Bradley Stryker, le film promet une expérience émotionnelle intense.
Empire Studios prépare une relecture cauchemardesque du célèbre conte oriental. Aladdin : The Monkey’s Paw, réalisé par Bradley Stryker, entamera son tournage en mai 2025 au Royaume-Uni. Une vision sombre et surnaturelle, portée par un casting solide et une volonté affirmée de réinventer le mythe. ActuaNews vous dévoile la première image terrifiante…
Un conte classique plongé dans les ténèbres
Aladdin à l’ère moderne, entre magie et malédiction Loin de l’univers enchanteur des tapis volants et des génies exubérants, Aladdin : The Monkey’s Paw propose une relecture contemporaine et sinistre du récit bien connu. Le protagoniste, un Londonien d’aujourd’hui, hérite d’un mystérieux artefact : une patte de singe antique aux propriétés surnaturelles. Chaque souhait qu’il formule semble s’exaucer… mais à un prix terrible.
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Une mécanique de l’horreur centrée sur les désirs humains Ce nouveau film d’épouvante ambitionne de s’ancrer dans la tradition des récits maudits autour des vœux pervertis. Comme dans la franchise culte Wishmaster, le fantastique se mêle à l’angoisse, et chaque désir devient un piège. L’atmosphère se veut pesante, centrée sur les conséquences psychologiques et physiques de ces « cadeaux » empoisonnés. Le fantastique est ici vecteur de tragédie, et non de rêve.
Un projet audacieux pour un public adulte
Voici le nouveau visage du génie dans la version horreur du film
Une nouvelle ère pour les personnages du domaine public Depuis le succès controversé de Winnie the Pooh : Blood and Honey, les figures issues du domaine public se prêtent de plus en plus à des relectures horrifiques. Peter Pan, Bambi ou encore Mickey Mouse ont récemment fait l’objet d’adaptations sombres et violentes. Dans cette lignée, Aladdin : The Monkey’s Paw entend bien marquer les esprits en rompant définitivement avec la douceur enfantine de ses origines.
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Une équipe de production rompue au genre À la réalisation, Bradley Stryker, que les amateurs d’horreur connaissent pour son rôle dans Terrifier 3, dirige un casting prometteur. Nick Sagar incarne le nouveau Aladdin, tandis que Ricky Norwood prêtera ses traits au génie maléfique. Montana Manning complète la distribution. Le scénario est signé Charley McDougall, également producteur, aux côtés de Jamie McLeod-Ross, Nick Sagar et Stryker lui-même. L’image sera assurée par Simon Stolland (Marching Powder), gage d’une esthétique léchée et immersive.
Une vision affirmée de l’horreur surnaturelle
Un projet guidé par une ambition artistique forte Charley McDougall confie que ce récit le hante depuis longtemps. Son ambition : transcender le simple film de genre pour toucher à l’intime, à la psychologie du désir et au coût émotionnel des choix humains. « Les meilleurs films d’horreur vous hantent bien après le générique », affirme-t-il, promettant une expérience sensorielle forte, où la terreur ne réside pas seulement dans l’horreur visuelle, mais dans l’écho émotionnel des situations vécues par les personnages.
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Une esthétique sombre révélée dans une première image La première photo officielle du film, dévoilée par Deadline, donne le ton. On y aperçoit le visage inquiétant du génie, teinté de rouge, le regard sadique et le sourire carnassier. Cette image évoque immédiatement l’univers visuel de Wishmaster ou de Candyman, plaçant ce Aladdin horrifique dans la grande tradition du fantastique sanglant et psychologique. Le film promet d’explorer les tréfonds de l’âme humaine à travers la métaphore d’un objet maudit.
Avec Aladdin : The Monkey’s Paw, Empire Studios signe une incursion audacieuse dans le cinéma d’horreur surnaturel. Porté par une équipe expérimentée et une direction artistique affirmée, le film entend proposer bien plus qu’un simple divertissement effrayant. Une chose est sûre : cette relecture cruelle d’Aladdin ne laissera personne indemne, ni les spectateurs, ni les personnages.
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