Un Bashing Justifié?

Blanche Neige: icône intouchable…

Juger un film à son casting, ou à sa bande-annonce, c’est comme juger un livre à sa couverture, sans le lire, finalement ce n’est ni plus ni moins que du bashing, et c’est ce qui semble se passer avec le nouveau Live Action de Disney, qui a décidé de porter à l’écran l’histoire de Blanche Neige, qui n’est ni plus ni moins que la fondation sur laquelle repose le royaume de la Firme Disney. En effet Walt Disney a tout misé, dans tous les sens du terme, sur ce film qui a décroché un succès sans précédent et qui lui a permis de développer le plus grand studio d’animation de tous les temps.

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Live Action: Un Pari audacieux

Depuis quelques années, Disney fait le pari de mettre ses plus grands classiques en Live Action, que ce soit Cendrilllon, La Belle Et La Bête, sans oublier Aladdin ou bien encore Mulan. Des réussites à plus ou moins grande échelle, avec des sorties au cinéma, et d’autres uniquement sur Disney+. Alors que se profile à l’horizon Lilo et Stitch en Mai prochain, le début du printemps signifiait l’arrivée de Blanche Neige dans les salles obscures avec Rachel Zigler dans le rôle phare, face à Gal Gadot en méchante Reine. Dès lors que le casting fut connu, nous avons eu le droit à de très nombreux messages, parlant des origines de Rachel, loin de la description que l’on peut se faire de Blanche Neige. Si on peut entendre le propos, sans pour autant le cautionner, on se dit que si elle a été choisie c’est avant tout pour son talent de comédienne et elle le demontre parfaitement, et les auteurs du scénario ont soit pris en compte la remarque ou alors ils l’avaient anticipé, car ici, si le personnage se nomme ainsi, c’est juste parce qu’elle est née dans un hiver où la neige a tout envahi.

Un Live Action proche du classique originale?

Une trame retravaillée

Si la trame originale de Blanche Neige est clairement le fil rouge du Live Action, ce film dans son ambiance se rapproche bien plus du film Blanche Neige et le Chasseur avec Kristen Stewart sorti dans les salles obscures en 2012, tout en gardant le côté “feelgood” que promeut Disney. Dans ce film, ce qui se dégage avant tout, c’est vraiment la relation entre Blanche Neige et sa belle mère. Une relation qui ressemble à celle de Cendrillon, et le parallèle est vite fait lorsque l’on voit Blanche Neige faire encore et encore le ménage dans le château. Magré tout, la trame reste la même, avec l’ajout d’éléments pour répondre aux critères de 2025.

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Une version édulcorée voire aseptisée?

La recette de Disney pour faire un live action est assez simple, vous prenez des ingrédients d’autres histoires, et vous prenez la trame d’une autre et cela donne en 2025 le film Blanche Neige. Ainsi on retrouve du Cendrillon comme nous vous l’expliquions plus en amont, mais on y retrouve aussi du Robin des Bois, avec le futur “Petit Ami” de Blanche Neige qui n’est donc plus un Prince Charmant comme nous pouvions l’imaginer, mais un Bad Boy au coeur tendre. A celà s’ajoute la disparition des “Sept Nains” dans le titre, mais qui jouent un rôle important au sein du film. Les nains qui sont ici des êtres avec des pouvoirs, car oui il faut toujours un peu de magie au sein d’un bon Disney.

Faut il voir ce film?


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