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Un suspect au cœur des investigations

Un profil marginal interpellé à des kilomètres du crime

Dans l’après-midi du 10 février 2025, les forces de l’ordre ont placé en garde à vue un jeune homme de 23 ans, soupçonné de « meurtre sur une mineure de 15 ans ». Il a été interpellé à Rouen, à plus de 150 kilomètres du lieu du crime, au domicile de sa mère, également arrêtée pour « non-dénonciation de crime ». Ce suspect, décrit comme « légèrement marginal », attire désormais toute l’attention des enquêteurs.

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Un deuxième homme dans le viseur des enquêteurs

Quelques heures après cette première arrestation, un second individu, âgé lui aussi de 23 ans, a été interpellé à Épinay-sur-Orge, la ville où résidait la jeune victime. Ce nouvel élément vient complexifier l’enquête, alors que trois membres de son entourage ont été placés en garde à vue pour « non-dénonciation de crime ». Des vérifications sont en cours pour établir leur rôle exact dans cette affaire.


Des indices accablants et des témoignages troublants

Des traces ADN et des griffures suspectes

Selon les informations de RTL, les soupçons se renforcent contre le second suspect interpellé à Épinay-sur-Orge. Son ADN a été retrouvé sur le corps de Louise, ce qui constitue un élément déterminant. De plus, les enquêteurs ont constaté la présence de griffures et de coupures sur ses mains et ses doigts, laissant supposer une possible résistance de la jeune fille face à son agresseur. L’origine de ces blessures reste à vérifier, mais elles renforcent les doutes des forces de l’ordre.

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Une doudoune et des incohérences dans les alibis

Autre élément troublant : un individu vêtu d’une doudoune noire a été repéré sur les caméras de surveillance près du lieu où Louise a été vue pour la dernière fois. Or, le suspect posséderait une veste similaire, bien que celle-ci n’ait pas été retrouvée lors des perquisitions. Les enquêteurs doivent encore déterminer si cette doudoune correspond bien à celle portée par l’homme observé sur les images. Par ailleurs, les proches du suspect – ses parents et sa compagne – ont fourni des déclarations contradictoires sur son emploi du temps le jour du drame, ajoutant un nouveau voile de mystère à cette affaire.


Des investigations toujours en cours

L’enquête se poursuit afin d’établir avec certitude les circonstances du drame et d’identifier l’auteur des faits. L’autopsie a révélé que la fillette avait été victime de nombreuses plaies causées par un objet tranchant. Dimanche 9 février, une battue a été organisée pour retrouver l’arme du crime, mais celle-ci reste introuvable.


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