L’artiste PD Beats, présumé contributeur de ‘Not Enough’, intente un procès en droits d’auteur contre la succession de Juice Wrld et le Dr Luke, alléguant qu’il a été injustement exclu du morceau et souhaite une part équitable des revenus. ActuaNews.fr vous en dit plus…
Une Affaire de Droits d’Auteur Déclenchée
L’industrie musicale est le théâtre d’une nouvelle bataille juridique impliquant la succession du regretté Juice Wrld et le producteur de renom, le Dr Luke. Cette fois, l’artiste PD Beats, également connu sous le nom de Pierre Orpheus DeJournette, poursuit ces deux entités en justice pour une affaire de droits d’auteur liée à la chanson « Not Enough ».
Une Contribution Incontestée
PD Beats allègue qu’il a joué un rôle crucial dans la création de la piste « Not Enough ». Il prétend avoir apporté des contributions substantielles, y compris la guitare, la performance, la production, et même la programmation des éléments musicaux essentiels tels que les rythmes et les 808. Selon lui, ces éléments constituent la base de l’attrait du public de la chanson en question.
Le Lien avec ‘Fighting Demons’
Le co-scénariste présumé estime également que sa contribution s’étend à d’autres morceaux, bien que les titres spécifiques ne soient pas mentionnés. Il cherche à obtenir une part égale des droits d’auteur et à être reconnu comme copropriétaire de la musique. Pour étayer sa demande, PD Beats a lancé une action en justice visant à ordonner une comptabilité des revenus générés par la chanson « Not Enough ».
Les Allégations et les Attentes
Les avocats de DeJournette ont affirmé que les accusés, la succession de Juice Wrld et le Dr Luke, avaient publié, commercialisé, distribué et monétisé la chanson « Not Enough » sans attribuer ni fournir à PD Beats sa part proportionnelle des revenus. Cette affaire risque de soulever des questions importantes sur la reconnaissance des contributions artistiques et les droits d’auteur dans l’industrie musicale.
Une Affaire à Suivre
L’issue de cette affaire pourrait avoir des répercussions significatives sur la manière dont les contributions artistiques sont traitées dans l’industrie musicale et sur la reconnaissance des co-scénaristes et producteurs. Elle est à surveiller de près, car elle pourrait potentiellement redéfinir les pratiques de partage des revenus dans un secteur déjà complexe.
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